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La situation budgétaire de Fréjus est tellement tendue qu’elle est désormais incapable de s’occuper de ses plages : c’est Estérel Côte d'Azur Agglomération qui s’en occupe à sa place.
En témoignent les travaux d’urgence réalisés dans la nuit du 29 au 30 juillet pour nettoyer la plage de la Galiote à St-Aygulf dont Var-Matin a démontré le 24 juillet dernier l’état lamentable.
La même agglomération qui vient de voler au secours de Fréjus en finançant pour 5M € l’entretien des bâtiments communaux et la voirie fréjusienne (CM du 29 juillet 2025).
Fréjus n’est pas sous la tutelle de l’État : elle est sous la coupe de l’agglomération.
Et pour revenir à a plage de la Galiote, un dernier souhait : que Fréjus retrouve les clefs des toilettes publiques de la plage: cela évitera aux usagers de s’oublier sous le pont ou derrière le poste de secours.
C’est aussi cela avoir le sens de l’accueil.
À moins qu’on ne laisse ce soin également à l’agglo ?
L’annulation du Summer Vibes Festival, à seulement trois jours de l’événement, suscite colère et incompréhension. Officiellement annulé le lundi 14 juillet par l’Office de Tourisme de Fréjus, le festival devait se tenir les 18 et 19 juillet. Pourtant, la liquidation judiciaire de l’organisateur, Brothers Company, a été prononcée dès le 30 juin par le tribunal de commerce de Fréjus. Pourquoi alors avoir attendu le 15 juillet pour communiquer officiellement ?
Depuis plusieurs semaines, des rumeurs insistantes faisaient état d’une annulation imminente. La Ville et son Office de Tourisme ne pouvaient l’ignorer. Pourtant, aucune alerte n’a été donnée au public. Silence total, comme si rien ne se préparait en coulisses. Ce silence n’a rien d’un simple raté : c’est un choix. Le choix de ne pas informer les milliers de festivaliers, souvent jeunes, qui ont acheté leurs billets en toute bonne foi. Le choix de dissimuler la réalité jusqu’à la dernière minute. Cette gestion n’est pas seulement brouillonne, elle est méprisante. On a laissé le public dans l’ombre, volontairement, sciemment.
Et que personne n’aille prétendre que David Rachline, maire de Fréjus, n’était pas au courant de la situation. Le dirigeant de Brothers Company, Arnaud Le Forestier, est un proche assumé de la majorité municipale : patron du bar Public House, remplaçant RN lors des élections départementales de 2021, et ancien président de l’association des commerçants Cap Hermès, dont il est encore membre d’honneur. Ces liens ne sont pas secrets. À Fréjus, ils sont bien connus. Il est donc totalement illusoire de faire croire que le maire ait pu apprendre la liquidation en lisant la presse. Il savait. Et il s’est tu.
Aujourd’hui, les réponses de la Ville sont aussi floues que dérisoires. On annonce que les billets 2025 seront valables pour une hypothétique édition 2026, comme si une entreprise en liquidation judiciaire allait subitement ressusciter pour organiser un festival qu’elle n’a même pas pu maintenir cette année. À ceux qui se sentent floués, on promet un t-shirt, une casquette et un collier, à condition d’en faire expressément la demande. Et, cerise sur le cynisme, un code promo pour le festival « Madame Loyale », prévu fin juillet… en espérant qu’il ne soit pas, lui aussi, annulé au dernier moment. Le message est limpide : une promesse incertaine de remboursement, pas d’excuse, mais quelques gadgets textiles pour faire passer la pilule.
Et au-delà de cette désinvolture, un autre scandale se dessine : celui de l’argent public. L’Office de tourisme, véritable bras armé de la Mairie, a acquis les droits promotionnels attachés à la marque Summer Vibes pour la modique somme de 125 000 euros, versés à la société Brothers Company. Une société privée, aujourd’hui en faillite, qui ne rendra rien à personne. Aucune clause de garantie, aucun contrôle de gestion, aucune transparence. Cet argent est perdu. Ce n’est pas une simple erreur d’appréciation : c’est un gaspillage en règle, un cadeau sans contrepartie, offert au cœur du cercle rapproché du pouvoir municipal. À Fréjus, on subventionne les amis. Et ce sont les contribuables qui paient.
Le Summer Vibes Festival devait être un moment festif et populaire. Il devient le symbole d’une gouvernance opaque, imprudente et irresponsable. À Fréjus, le système des copains ne fait plus rire personne. Il pourrit la vie démocratique locale. Il abîme la confiance. Et il coûte cher. Il est grand temps que cela cesse.
Le rapport de la Chambre régionale des comptes est une fois de plus limpide : depuis la nouvelle gouvernance de l’AMSLF imposée par le Maire, la situation financière, administrative et associative s’est gravement détériorée.
Ce constat alarmant rejoint les alertes formulées depuis plusieurs années. Et il confirme que cette dérive n’est pas seulement la conséquence d’une mauvaise gestion, mais également celle d’une prise de contrôle politique orchestrée en violation des règles statutaires.
Rappelons les faits : la démission forcée du président élu, obtenue par le retrait de la directrice générale et le gel des subventions, a permis l’élection de M. SGARRA dans des conditions totalement irrégulières. Ce président siège donc sans légitimité statutaire, avec la bénédiction du maire de Fréjus.
Depuis, les déséquilibres se sont multipliés.
Une situation financière dégradée :
• Plus d’un million d’euros de déficit cumulé sur les exercices 2022 et 2023 ;
• Fonds propres quasiment épuisés ;
• Absence de projet associatif structurant ;
• Un audit commandé pour 50 000 euros, sans effet concret ;
• Une capacité d’autofinancement devenue fortement négative, alors même que la subvention municipale a augmenté.
Une gestion des ressources humaines opaque et préoccupante :
• Aucune tenue de registre du personnel ;
• Augmentation de 368 % des effectifs physiques entre 2018 et 2023 ;
• Hausse de 108 % de la masse salariale nette, atteignant 788 000 euros en 2023 ;
• Versement de 33 000 euros de primes exceptionnelles sans base légale, et revalorisations mensuelles allant jusqu’à 342 euros ;
• Toutes les décisions en matière de recrutement et de rémunération sont prises par un « comité d’exécution » qui n’a aucune existence statutaire ;
• Absence totale de politique de gestion des bénévoles.
Comme pour la Ville, une politique d’achat incontrôlée et dispendieuse :
• Autonomisation complète des sections, désormais dotées de chèques en blanc, sans encadrement ni mutualisation ;
• 10 véhicules achetés, dont 6 fourgons, contre 4 auparavant (dépenses doublées entre 2021/2022 et 2022/2023) ;
• Mise à disposition de véhicules personnels pour le président et le trésorier, utilisés à des fins privées sans déclaration d’avantages en nature ;
• 188 000 euros dépensés en survêtements et sacs à dos, en quatre commandes à un même fournisseur ;
• Coût d’un community manager indépendant dont les prestations représentaient 3500€ pour les saisons 2020 et 2021 puis 67800€ pour les 2 saisons suivantes ;
• Explosion des supports de communication : 40 000 guides imprimés pour la seule saison 2021/2022 (près d’un guide par habitant), contre 2 000 jusqu’en 2020.
Résultat : l’association n’a plus aucune autonomie financière, ni capacité de pilotage stratégique. Elle dépend entièrement du financement de la Ville qui se comporte comme un dirigeant de fait. Sa survie est désormais en jeu.
La responsabilité de cette dérive repose exclusivement sur ceux qui ont facilité, organisé ou laissé faire cette prise de contrôle irrégulière.
Il est encore temps d’agir. D’exiger de l’association qu’elle fournisse des garanties sérieuses en matière de gouvernance, de transparence et de gestion des fonds publics.
Si rien n’est fait, l’AMSLF, structure associative historique à laquelle les Fréjusiens sont attachés depuis plus de 50 ans, sera en cessation de paiement.
La loi (article 3–26e du décret numéro 89–655 du 13 septembre 1989), règle les préséances dans les honneurs civils et militaires.
Depuis 1880, la France célèbre le 14 juillet comme la fête de l’unité de tous les Français.
Cette unité est célébrée partout en France… Sauf manifestement à Saint-Raphaël qui cette année avait la charge d’organiser la cérémonie pour elle même et Fréjus.
Le 14 juillet 2025, Monsieur Masquelier a franchi une nouvelle ligne blanche en excluant des célébrations de certains élus Frejusiens, au seul motif qu’étant de l’opposition, ils n’avait pas à être invités.
Son chef de cabinet a donc « prié » les conseillers municipaux et communautaires de Notre Parti C’est Fréjus de quitter le rang protocolaire, puisque n’étant pas conviés, ils n’avaient pas confirmé leur présence ( cqfd).
Quel paradoxe !
Le même Masquelier qui exige des associations subventionnées qu’elles participent aux commémorations patriotiques sous peine de suppression de leurs subsides, refuse à des élus présents de prendre place aux côtés de leurs collègues de l’agglomération.
Pour Mr Masquelier, il y a donc deux sortes d’élus : les bons du premier rang et les autres qui ne doivent figurer nulle part.
Pour le dire autrement, les citoyens qui ont voté pour ces « mauvais élus », ne comptent pas non plus : ils n’ont droit qu’au silence et au mépris.
Aucun Gaulliste, aucun Républicain digne de ce nom ne peut admettre un tel sectarisme.
Ce comportement ne vaut pas mieux que celui des militants de Deat, Mussolini ou d’Hitler que le Général De Gaulle et ses compagnons ont combattu jusqu’à la mort.
À l’évidence, en dépit de son patriotisme d’importation et de son sens aigu de « l’agglomération-copropriété «, Mr Masquelier n’est ni Gaulliste, ni Républicain : il ne fait que servir de marchepied à ses amis d’à côté, en espérant ainsi acheter à bon compte une réélection soldée.
Au final, cet incident aura au moins un mérite : désormais, les habitants de notre agglomération savent à quoi s’en tenir.
Emmanuel BONNEMAIN
Conseiller municipal
Conseiller d’agglomération
NOTRE PARTI C’EST FRÉJUS
Depuis 1880, le 14 juillet célèbre à la fois la prise de la Bastille en 1789, mais aussi la fête de la Fédération de 1790.
Symbole de l’union sacrée du peuple français et de son armée au service des valeurs de la Nation.
Symbole surtout de l’unité de tout le peuple français, contre l’arbitraire et la confiscation du pouvoir de quelques-uns au détriment de tous.
C’est bien dans cet esprit d’unité que je célébrerai ce 14 juillet 2025 à Saint-Raphaël, avec l’ensemble des élus de Fréjus, bien que le service protocolaire de nos voisins et amis ait oublié d’inviter les élus de l’opposition fréjusienne.
Qu’à cela ne tienne !
Cette omission ne peut faire oublier l’essentiel : c’est en restant un et indivisible que notre territoire d’Estérel Côte d’Azur se développera dans le respect de sa diversité et la sérénité ; c’est en restant une et indivisible que notre France restera éternelle, fidèle à sa devise : Liberté, Égalité, Fraternité.
Interviewé ce vendredi par VM, le conseiller municipal Sgarra, également président de l’AMSLF (ce « petit » conflit d’intérêt ne le gêne pas : vu ce qu’il touche comme patron de l’AMSLF, il serait tout de même un peu indécent qu’il soit en plus rémunéré comme conseiller municipal !) vient nous expliquer qu’en dépit de 1,3 million de pertes cumulées en 3 ans, « l’AMSLF va bien et n’a aucun problème de trésorerie ».
Ben voyons !
Il oublie juste de dire que ce sont les subventions de la ville qui comblent les déficits ! Nos impôts – ou plutôt nos emprunts, vu le déficit de la ville de 156 millions !
Idem s’agissant des circonstances de sa désignation :
Acte 1 : le Maire veut virer De Serna, président élu.
Acte 2 : les subventions de la ville cessent d’être versées ; les mises à disposition des encadrants ne sont pas renouvelées ; les deux secrétaires administratives sont déplacées.
Acte 3 : De Serna est contraint à la démission, l’AMSLF est placée sous administration judiciaire dans l’attente de nouvelles élections.
Acte 4 : M. Sgarra est « élu » ; les subventions reviennent, et les moyens de fonctionnement aussi.
Comment M. SGARRA peut-il faire croire que le Maire n’est pas intervenu et qu’il ne s’est rien passé ???
Sa mémoire est en fait bien sélective : il a aussi oublié de préciser dans l’article qu’en sa qualité de président, il bénéficiait d’une voiture de fonction (on paie même ses PV !) parmi d’autres avantages.
De même, la CRC n’a pas seulement rappelé que la masse salariale avait explosé, elle a surtout démontré que, comme pour la mairie, la politique des achats était totalement farfelue et hors de contrôle.
Bref, non seulement M. SGARRA n’a pas de mémoire, mais en plus, il gère notre bien commun comme une enclume, et c’est bien là le problème.
Le constat est sans appel : l’ancien préfet, le préfet actuel et la chambre régionale des comptes ont tous alerté sur la situation financière de notre commune. Un déséquilibre de plus de 11 millions d’euros a été constaté dans le budget 2025. Aujourd’hui, le préfet menace de se substituer à la Ville. Une telle procédure, exceptionnelle, révèle la gravité de la situation.
Et pourtant, la majorité municipale nie l’évidence. Le maire affirme que cela n’aura aucun impact pour les Fréjusiens. Il ment.
Si nous continuons sur cette voie, ce sont les habitants qui en subiront les conséquences : hausses d’impôts, réduction des services, perte de contrôle démocratique. La mise sous tutelle est désormais une perspective concrète.
Il est encore temps d’agir : reprendre le contrôle de nos finances, maîtriser nos dépenses, construire une vraie stratégie de désendettement. C’est une question de responsabilité et de respect envers les Fréjusiens.
C’est une situation inédite dans l’histoire de notre ville : pour la première fois, le budget de Fréjus a été rejeté comme non sincère par la Chambre régionale des comptes.
Ce signal d’alarme, c’est l’ancien préfet du Var, Philippe Mahé, qui l’a déclenché. En saisissant la Chambre, il a exprimé un doute sérieux sur le réel équilibre du budget municipal – une démarche rare, qui témoigne de la gravité de la situation.
Le verdict est sans appel. Voici ce qu’écrit noir sur blanc la Chambre régionale des comptes dans son avis officiel :
« La chambre régionale des comptes constate que le budget primitif 2025 de la commune de Fréjus n’a pas été voté en équilibre réel en raison du défaut de sincérité des prévisions en recettes et en dépenses des sections d’investissement et de fonctionnement. »
Autrement dit : l’équipe de M. Rachline a présenté un budget avec plus de dépenses que de recettes. Si vous faisiez cela chez vous, vous seriez en surendettement. C’est une impasse comptable, un naufrage en direct. Et la prochaine étape, si rien ne change, pourrait être la mise sous tutelle de la commune par l’État.
Non, ce n’est pas anecdotique. C’est un fait politique majeur. Fréjus, aujourd’hui, est dans une situation critique.
Les causes ? Des recettes largement surestimées – en particulier des ventes immobilières hasardeuses et des subventions incertaines – et des dépenses minimisées, voire repoussées artificiellement. Résultat : plus de 11 millions d’euros de déséquilibre global et un endettement total de 152,8 millions d’euros, avec une capacité de désendettement qui dépasse les 18 ans. C’est bien au-delà des seuils de vigilance.
Conséquence immédiate : des projets annulés, des investissements gelés, et des services municipaux sous tension. Mais au-delà des chiffres, c’est une question de méthode, de responsabilité, et de respect des Fréjusiens.
Nous, élus d’opposition, demandons des comptes. Nous exigeons transparence, rigueur, et dialogue. Fréjus mérite mieux qu’un pilotage à vue.
En 2026, il faudra choisir : continuer dans l’impasse ou redonner à Fréjus une gestion digne, solide et ambitieuse.
De Fréjus Centre à Fréjus-Plage, en passant par Saint-Aygulf, la ville a célébré la musique comme il se doit à l’occasion du solstice d’été : concerts, danse, sourires et ambiance festive ont animé tous les quartiers !
Un grand merci aux bénévoles, aux artistes, et à toutes celles et ceux qui ont contribué à la réussite de cette belle soirée.
Retour sur notre repas républicain !
Hier soir, vous étiez plus d’une centaine à participer à notre traditionnel repas républicain organisé par Notre Parti c’est Fréjus.
Merci à toutes et à tous pour votre présence, vos échanges et votre enthousiasme. Ce moment de convivialité a montré, une fois encore, la vitalité de notre collectif et l’attachement de chacun à l’esprit républicain.
Au cours de la soirée, Emmanuel Bonnemain a prononcé un discours fort, rappelant notre engagement au service de Fréjus : défendre les valeurs de justice, de solidarité, d’écoute et de proximité, et porter haut la voix de tous les Fréjusiens.
C’est ensemble, dans ces instants de partage, que se construit l’avenir de notre ville. Merci pour votre confiance et votre fidélité !
À la suite du drame survenu à Puget-sur-Argens
C’est avec effroi et une profonde tristesse que j’ai pris connaissance du crime raciste qui a coûté la vie à un habitant de Puget-sur-Argens et gravement blessé un autre Pugetois ce samedi.
J’adresse, au nom de toute mon équipe et en mon nom personnel, mes pensées et mon soutien à leurs familles, aux proches des deux victimes et à l’ensemble de nos concitoyens choqués par ces actes d’une violence inouïe.
Dans notre République, le racisme n’a pas sa place. Jamais.
Ce n’est ni une opinion, ni une provocation : c’est un délit, c’est une blessure profonde infligée à l’idéal d’égalité et de fraternité qui fonde notre société.
Je condamne avec la plus grande fermeté cet acte odieux et toutes les formes de haine, de repli, et de rejet de l’autre qui fragilisent le vivre-ensemble. Ce drame nous rappelle que la lutte contre le racisme, les discriminations et les violences doit rester une priorité de tous les instants, ici comme ailleurs.
Si certaines paroles blessent, à Puget-sur-Argens, elles ont tué.
La réponse à cette barbarie ne sera jamais la division ou l’indifférence, mais la justice, l’éducation et l’engagement citoyen pour défendre, partout et pour tous, les valeurs de respect, de tolérance et d’unité qui nous rassemblent.
À Puget-sur-Argens, à Fréjus comme partout en France, il nous appartient de rester unis et déterminés face à toutes les formes de haine. La mémoire de la victime et la dignité de notre République l’exigent.
Emmanuel BONNEMAIN
Conseiller municipal d’opposition à Fréjus
Conseiller Communautaire d’Estérel Côte d’Azur Agglomération
Notre Parti c’est Fréjus
Les équipes de "Notre Parti, c’est Fréjus" sont en pleine action dans tous les quartiers de la ville pour vous annoncer notre Repas Républicain, qui aura lieu le vendredi 13 juin à La Farigoule. Ce sera l'occasion idéale pour vous rencontrer, échanger...
Alors n’hésitez pas ! Confirmez dès à présent votre présence sur notre site ou à la permanence ! ( https://www.notreparticestfrejus.fr/.../inscription-repas )
Dimanche dernier, le tournoi des vétérans à la Gabelle a réuni habitants, bénévoles et passionnés autour d’un moment simple, vrai et sincère.
De nombreux anciens du quartier ont répondu présent. L’occasion pour certains de revenir là où ils ont grandi, là où tout a commencé.
Emmanuel Bonnemain, accompagné d’Ahmed Wadih, sont venus saluer ce moment fort.
Ils ont pu écouter les nombreuses préoccupations des habitants. La discussion centrale a été l'abandon du quartier en matière d'action sociale et l'inexistence d'une vraie politique de proximité, capable d'impliquer la population dans les différents projets de la Ville, en réservant au public la place qui est la sienne dans la vie de la cité Fréjusienne.
Ce temps consacré au dialogue a été apprécié par l'ensemble des participants qui ne demandent qu'à être sollicités pour les prochaines manifestations dans et en dehors de la Gabelle.
Bravo aux organisateurs, qui, avec peu de moyens mais beaucoup d’énergie, continuent d’honorer l’esprit de Fréjus.
Dimanche dernier, Emmanuel Bonnemain était présent à la traditionnelle fête de la Saint Pons organisée au cœur du quartier Sainte Brigitte. Messe, procession accompagnée par Lou Cepoun Frejuren et les bravadeurs des Amis de Saint François, puis apéritif anchoïade, aïoli convivial et après-midi champêtre dansante ont rythmé cette journée placée sous le signe de la convivialité, de l’intergénérationnalité et de la simplicité.
Nombreux sont les habitants qui ont spontanément salué Emmanuel au fil de la journée, témoignant de leur attachement aux valeurs de proximité et d’échange.
Emmanuel a une nouvelle fois démontré son engagement et sa disponibilité au service des Fréjusiens, des qualités qu’il continuera de mettre au cœur de son action de terrain, chaque jour, après mars 2026.
Samedi 17 Mai
Hier après-midi nous étions à La Gabelle pour la 2ᵉ étape de nos Rencontres de Terrain avec Emmanuel Bonnemain et l'équipe de Notre Parti C’est Fréjus.
Un grand merci aux habitants et commerçants du quartier pour leur accueil chaleureux et leurs échanges constructifs tout au long du parcours !
Des sujets concrets ont été évoqués pour ramener du lien Républicain dans un quartier aujourd’hui délaissé par l’actuelle majorité municipale :
- réouverture rapide du centre social,
- inquiétudes sur la sécurité et les incivilités du quotidien,
- propreté et entretien des espaces publics,
- respect et considération de tous les habitants du quartier, Fréjusiens à part entière.
Les commerçants ont particulièrement pris le temps de partager leurs préoccupations, mais aussi leurs attentes pour dynamiser la Gabelle et en faire un quartier plus vivant et plus sûr.
Ce moment d’écoute, de proximité et de dialogue nous conforte dans notre volonté de poursuivre cette démarche dans tous les quartiers de Fréjus. Ensemble, nous pouvons bâtir un projet au plus près de vos réalités.
Merci encore pour votre confiance. À très bientôt pour la prochaine étape !
Ce weekend, Fréjus a honoré Saint-François de Paule, dans une atmosphère festive, partagée par ses habitants.
Le succès de cette belle manifestation repose avant tout sur l’engagement sans faille des centaines de bénévoles, présents fidèlement chaque année.
Leur dévouement, leur disponibilité et leur passion méritent toute notre reconnaissance. Grâce à eux, la Bravade continue de faire rayonner avec éclat, l’histoire et les traditions de Fréjus.
Vive la Bravade ! Vive Saint-François de Paule ! Vive Fréjus !
Ce matin, les élus de Notre Parti c’est Fréjus, Emmanuel Bonnemain, Katia Michelan et Robert Icard ont participé à la cérémonie de commémoration du 8 mai 1945, jour de la Victoire des Alliés sur l’Allemagne nazie.
Aux côtés des autorités civiles et militaires, de nombreux Fréjusiens, des élèves des écoles de Fréjus dont les poèmes ont ému l’assistance, ils ont rendu hommage par leur présence à celles et ceux qui ont combattu il y a 80 ans, parfois au prix de leur vie.
Notre liberté, les institutions démocratiques qui en découlent, voilà l’héritage qu’ils nous ont légué : notre devoir est d’en prendre soin.
Se souvenir, c’est aussi construire l’avenir.
En transmettant les valeurs de courage, de résistance et de paix, nous honorons la mémoire de ceux qui se sont sacrifiés et renforçons notre attachement à la République.
1er mai 2025
En ce 1er mai, journée consacrée au travail, il faut poser une question simple : comment 21 personnes peuvent-elles risquer de perdre leur emploi sur décision unilatérale d’une société publique locale contrôlée par la mairie ?
Le 15 avril, la SPL du port – détenue à 99 % par la Ville de Fréjus – a annoncé à la société Magne, qui gère depuis des années l’aire de carénage, que sa concession ne serait pas renouvelée. L’objectif ? Reprendre en direct l’exploitation d’une seule activité : le grutage. Résultat immédiat : seuls 4 postes seraient maintenus. Et les 21 autres salariés ? Aucune solution, aucune garantie, aucune réponse.
En tant que conseiller municipal, Emmanuel Bonnemain a saisi la SPL par courrier le 18 avril. Toujours aucune réaction. Et pourtant, cette décision soulève plusieurs enjeux majeurs.
- Pourquoi ne reprendre qu’un pan marginal de l’activité, en laissant les autres métiers – carénage, réparation navale – sans avenir connu ?
- Sur quelle base juridique seront confiées ces activités restantes ?
- Que deviennent les 21 salariés non repris ? Quelles mesures d’accompagnement sont prévues ?
Derrière ces questions, ce sont des familles, un tissu économique local, et une certaine idée du service public qui sont en jeu.
Rien ne justifie une telle opacité.
Rien ne justifie un tel mépris du dialogue.
M. Bonnemain continuera à demander des réponses. Et nous pensons que les citoyens, comme les salariés concernés, méritent mieux que le silence.
La commission commerce de Notre Parti C’est Fréjus a mené une enquête auprès des commerçants de la ville (plus de 100 commerçants interrogés dans tous les quartiers de la ville). Depuis juin 2024, nous nous sommes rendus dans les commerces de la ville, en binôme, pour écouter les préoccupations et les attentes de ceux-ci.
Le constat est sans appel : le commerce local est en perte de dynamisme.
28 avril 2025
Notre Parti c’est Fréjus engage un cycle de Rencontres de Terrain à l’écoute des habitants.
Dans un contexte où l’accès aux équipements municipaux est de plus en plus restreint pour les élus d’opposition, Emmanuel Bonnemain et son équipe “Notre Parti c’est Fréjus” ont décidé d’initier un nouveau mode de dialogue direct avec les Fréjusiens.
À travers un cycle de Rencontres de Terrain, déployé progressivement tout au long de l’année, l’objectif est clair : aller au-devant des citoyens, sur leurs lieux de vie, pour écouter, recueillir leurs préoccupations et construire ensemble un projet pour Fréjus.
La première étape de ce dispositif s’est tenue le samedi 26 avril 2025 dans le quartier de la Tour de Mare.
Après avoir informé les riverains par une distribution de documents, Emmanuel Bonnemain et son équipe ont sillonné le quartier selon un itinéraire prédéfini, ponctué de temps d’échanges avec les habitants.
De nombreux sujets ont été évoqués :
• Problèmes de circulation sur la Voie Aurélia (vitesse excessive, nuisances sonores, incivilités).
• Nuisances sonores nocturnes.
• Insuffisance et manque d’entretien des pistes cyclables.
• Dégradation de l’espace public, notamment autour du terrain de boules (trottoirs dégradés, absence de sanitaires publics).
Chaque problématique a donné lieu à un dialogue constructif avec Emmanuel Bonnemain, dans un esprit d’écoute active et de respect mutuel.
Ces Rencontres de Terrain se poursuivront tout au long de l’année 2025 et jusqu'en mars 2026, à travers l’ensemble des quartiers de Fréjus.
Elles traduisent la volonté de construire un projet municipal à partir des réalités du terrain, en impliquant directement les habitants dans la réflexion collective.
Le contact direct, sans filtre ni intermédiaire, est essentiel pour comprendre les attentes des Fréjusiens et préparer ensemble l’avenir de notre ville.
L’ensemble des prochaines étapes sera communiqué régulièrement sur nos supports d’information.
Le prochain rendez-vous : La Gabelle - samedi 17 mai à partir de 15h
Manifestement le comportement de certains citoyens se maintient, faute de mesures fermes, claires et exemplaires de la part des autorités municipales, dont l’inaction traduit une véritable incompétence.
Depuis 11 ans, cette équipe - MR Renard en tête - nous explique qu’on ne peut rien faire, qu’il est impossible de poursuivre les contrevenants, que la jurisprudence nous en empêche, que « l’incivisme des gens est insupportable ».
Depuis 11 ans je réponds que ce n’est pas un problème d’incivisme ( les Frejusiens sont aussi bons citoyens que les élus de la majorité…) mais d’infractions pénales, qu’il est tout à fait possible d’installer des caméras MOBILES pour prendre les délinquants sur le fait et les poursuivre pour peu qu’on s’en donne les moyens.
Il y a 6 mois : miracle !
3 caméras sont achetées !
On sent la proximité de l’élection municipale…
Mais le problème reste entier puisque les points de dépôts sauvages se sont déplacés ( et certains anciens - rue Jourdan, rue Graecinus pour ne citer que ceux là ) toujours pas verbalisés.
Idem à Fréjus plage, à Cais, à la tour de Mare, à St Aygulf…
Rien n’est donc résolu contrairement à ce qu’on peut lire ce matin dans la presse.
En réalité, les dépôts sauvages ont deux sources principales :
- les habitants qui persistent à laisser leurs poubelles en pleine rue au lieu de les déposer aux containers (lesquels sont sous dimensionnés, souvent hors d’usage et trop peu nombreux).
- les voyous ( entrepreneurs sans scrupules et marchands de sommeil) qui vident leurs chantiers n’importe où.
Aux uns, à la mairie de les aider à faire autrement.
Aux autres, à la mairie de les poursuivre sans faiblesse.
Actuellement nous n’avons ni l’un ni l’autre.
Donc merci à Var Matin pour l’information partielle de ce jour : la prochaine fois que vous traiterez ce genre de sujet, après avoir recueilli la parole de la Mairie, interrogez donc les usagers de tous les quartiers de Fréjus…nous y verrons tous plus clair !
La municipalité actuelle privilégie des projets ponctuels ou symboliques, sans penser à un réseau intégré qui réponde aux besoins réels des citoyens.
Alors même que la Chambre Régionale des Comptes constate que la capacité d’autofinancement de la Ville est insuffisante (9,6 M€ en 2023) et de fait obère sa capacité à financer ses investissements, le Conseil Municipal du 27 mars vient de voter une autorisation de programme pour la construction du groupe scolaire de la Baume pour un montant total de 29,5 M€.
Les élus de Notre Parti c’est Fréjus ont voté contre
1) au plan financier, ce projet va à l’encontre des recommandations de la CRC.
2) au plan urbanistique, situé dans un secteur déjà très urbanisé, ce grand nombre d’élèves se déplaçant 2 à 4 fois par jour entrainera des embouteillages préjudiciables à tous.
3) au plan environnemental : situé juste au-dessus de l’autoroute, on peut s’interroger sur les nuisances en matière de qualité de l’air que vont subir ces enfants.
4) au plan scolaire et éducatif, 41 classes de maternelle et d’élémentaire réunies dans un même lieu nous semble totalement déraisonnable, sachant qu’il s’agit d’enfants de 3 ans jusqu’à 10 ans. Nous serions curieux de connaitre l’avis de l’Éducation Nationale sur ce choix de concentration d’enfants en un même lieu.
David Rachline semble, de toute évidence, confondre la vérité des faits et la vérité d’opinion en tentant de "réécrire" les conclusions du rapport de la Chambre Régionale des Comptes. Toutefois, la réalité des faits est incontestable et les conclusions de ce rapport sont préoccupantes. Le bilan de la gestion de Fréjus entre 2019 et 2023 soulève de sérieuses interrogations sur la gestion financière et la transparence municipale.
Voici les points clés :
Une dette en forte hausse : la dette a augmenté de 18,5 % en quatre ans, passant de 128 à 151,66 millions d’euros, avec une capacité de désendettement désormais supérieure à 15 ans, un seuil particulièrement inquiétant (le seuil d’alerte est fixé à 12 ans).
Une fiscalité locale en hausse, malgré les déclarations de David Rachline : si David Rachline n’a pas modifié les taux de fiscalité, il a en revanche bénéficié d’un ajustement des bases fiscales, ce qui a entraîné en 5 ans, une augmentation de 28 % des impôts pour les Fréjusiens.
Des dépenses incontrôlées : les charges de gestion ont progressé de 3,7 % par an, passant de 70 à 80 millions d’euros, principalement en raison des coûts liés au personnel, notamment par un recours massif aux contractuels.
Des projets mal maîtrisés : le projet du pôle enfance, initialement estimé à 11 millions d’euros, a vu son coût exploser à 24,9 millions d’euros, sans que la commune n’assure un contrôle budgétaire rigoureux ni un suivi adéquat.
Manque de transparence dans la commande publique : entre 2019 et 2023, 22 000 achats, totalisant 23 millions d’euros, ont été réalisés sans un contrôle suffisant, soulevant des questions sérieuses sur la transparence des procédures.
Dans une communication marquée par la manipulation et la désinformation, David Rachline a prétendu que la ville n’avait pas été sanctionnée, mais il est important de rappeler que la Chambre Régionale des Comptes n’a pas pour rôle de sanctionner directement, mais d'alerter et de recommander des mesures correctives.
Ce rapport met en lumière des dysfonctionnements graves dans la gestion municipale et souligne l’urgence de renforcer la transparence et de redresser la trajectoire budgétaire. David Rachline semble clairement incapable de relever ces défis.
Pour lire le rapport de CRC, c'est ici.
À un an des municipales, David Rachline débloque 4 millions d’euros supplémentaires pour les associations locales. Une générosité soudaine qui interroge : est-ce une aide sincère ou un coup électoral financé par l’argent du contribuable ?
Les chiffres parlent d’eux-mêmes :
• 2020 : 1,5 M€
• 2021 : 1,7 M€
• 2022 : 1,8 M€
• 2023 : 2 M€
• 2024 : 6 M€ ! (+ 4 M€ en une seule année)
Une explosion des subventions… Juste avant les élections !
Cette augmentation brutale soulève de vraies questions sur la transparence et l’éthique :
- À qui va réellement cet argent ?
- Pourquoi maintenant et pas avant ?
- Pourquoi cet argent n’est-il pas investi dans les services publics qui en ont besoin ?
Acheter des voix avec l’argent des Fréjusiens, c’est NON !
Fréjus mérite une gestion responsable et non du clientélisme électoral. En 2026, ne nous laissons pas berner.
Le Nouvel Obs vient de confirmer que le maire de Fréjus sera jugé en correctionnelle en septembre prochain pour prise illégale d’intérêts.
Le procureur lui reproche les conditions de son élection en 2017 à la tête de deux Sociétés d’Économie Mixte (SEM) FRÉJUS AMÉNAGEMENT et PORT FRÉJUS lui procurant un complément de rémunération annuel de 24 000 €, en plus de ses indemnités d’élu.
Faut-il y voir une manière de compenser la perte de ses indemnités de Sénateur auxquelles il a dû renoncer avec la loi sur le non cumul des
mandats ?
Le jugement attendu en septembre le déterminera peut-être.
En tout cas, disons-le immédiatement : tant qu’il ne sera pas déclaré coupable, M. Rachline reste présumé innocent.
Il n’est donc pas question ici de prétendre comme le font les populistes « qu’il n’y a pas de fumée sans feu ».
Mais l’intégrité de l’homme poursuivi implique aussi l’intégrité de l’institution qu’il représente, en l’occurrence la ville de Fréjus.
Tant que M. Rachline ne sera pas définitivement innocenté des faits qui lui sont reprochés, sa parole en tant que Maire sera dévalorisée.
La dignité lui impose donc de préserver notre ville et de se mettre en retrait comme François Léotard l’avait fait en son temps.
Deux autres questions se posent encore :
Osera t-il faire supporter les frais de sa défense par la Ville ?
La Commune et les SEM se porteront-elles parties civiles pour demander indemnisation de leurs préjudices si condamnation pénale devait être prononcée ?
Notre Parti C’est Fréjus veillera à ce que les fonds publics soient préservés.
Tous nos adhérents et à fortiori, les membres du Conseil d’Administration de NPCF se sont engagés en signant une charte d’honneur, de probité et de moralité pour éviter les dérapages de ce type.
C’est en tout cas notre engagement pour conduire les destinées de Fréjus dès mars 2026.
Publié le 5 mars 2025
David Rachline, fidèle à sa stratégie de communication, revendique des résultats en matière de sécurité qu’il attribue à son action.
Mais derrière ces déclarations, qu’en est-il vraiment ?
Vérifions les faits :
Des chiffres sélectionnés pour servir une image
Le maire de Fréjus s’appuie sur un palmarès publié par ActuVar et basé sur une étude de Valeurs Actuelles, un magazine dont je vous laisserai imaginer la ligne éditoriale. Cette étude, loin d’être exhaustive, ne prend en compte que certains délits en repli, laissant volontairement de côté les indicateurs en hausse. Une manière bien pratique de faire parler les chiffres qui arrangent, tout en oubliant ceux qui dérangent.
Une réalité alarmante sur le terrain
Pourtant, les faits parlent d’eux-mêmes. Pour la seule période du 1er au 20 janvier 2025, ce sont déjà 20 cambriolages qui ont été commis sur le territoire de la commune (source : Voisins Vigilants Fréjus).
De plus, les chiffres officiels montrent des augmentations préoccupantes à Fréjus :
• Usage des stupéfiants : En hausse constante
• Violences intrafamiliales : Une augmentation inquiétante.
Sur ces enjeux, la Police Municipale et les services sociaux de la Ville pourraient (et devraient) jouer un rôle clé. Malheureusement, aucune stratégie claire n’a été déployée par la municipalité pour répondre à ces problématiques.
La sécurité, un travail collectif, pas une opportunité politique
La baisse générale de la délinquance dans le Var depuis 2021 est due au travail des services de l’État, notamment la Police Nationale, qui intervient sur Fréjus. Mais au lieu de collaborer efficacement et de renforcer ces actions, la majorité municipale préfère s’approprier des résultats qui ne lui reviennent pas, tout en négligeant les mesures concrètes nécessaires pour protéger les Fréjusiens.
Fréjusiens, vous méritez la vérité !
La sécurité est un sujet sérieux, qui exige des actions réfléchies et transparentes, et non une communication opportuniste basée sur des études biaisées. Comptez sur nous pour continuer à dénoncer ces manipulations et proposer des solutions à la hauteur de vos préoccupations.
Fréjusiens,
Le rond-point des Bravadeurs, autrefois présenté comme une solution moderne pour améliorer la circulation, est aujourd’hui un symbole flagrant de l’improvisation et de la mauvaise gestion municipale.
Il y a seulement quelques années, des travaux importants ont été réalisés pour aménager ce giratoire. À l’époque, on nous avait vanté un projet censé fluidifier le trafic et répondre aux besoins des usagers. Or, à peine ce chantier terminé, voilà que l’on revoit déjà sa conception. La récente modification de la rue Albert Einaudi – désormais en sens unique vers la Poste – et la neutralisation du rond-point de la Poste viennent prouver une chose : les décisions prises à l’époque étaient mal conçues et mal anticipées.
Comment expliquer qu’un aménagement aussi coûteux nécessite déjà d’être repensé ? Quel était le montant des travaux d’origine, et qui en a bénéficié ? Pourquoi les Fréjusiens doivent-ils subir aujourd’hui les conséquences de choix précipités et d’une absence de vision à long terme ?
Cette gestion à courte vue ne se limite pas à la conception : le nouveau schéma de circulation, loin d’améliorer la situation, engorge encore plus les axes comme le rond-point de la Porte Dorée et complique l’accès au centre-ville. Les détours imposés aux usagers ne font qu’allonger les trajets et accentuer les frustrations.
👉 Fréjusiens, vous avez le droit de demander des comptes. Avant de modifier une nouvelle fois cet aménagement, il est temps de poser les bonnes questions :
• Pourquoi un projet aussi récent doit-il être repensé si vite ?
• Comment ces décisions sont-elles financées, et à quel prix pour les contribuables ?
• Où est la concertation avec les habitants qui utilisent ces infrastructures chaque jour ?
Nous méritons une gestion responsable, basée sur une planification sérieuse et un véritable respect de l’argent public. Assez de ces projets mal préparés, qui gaspillent nos ressources et compliquent notre quotidien.
Fréjusiens, vous pouvez compter sur nous pour exiger des réponses et pour travailler à des solutions durables et réfléchies. Ensemble, bâtissons un Fréjus où chaque décision est prise avec sérieux et transparence.
Dimanche 19 janvier avait lieu à la salle du Sextant, l'Assemblée Générale de notre nouveau parti, "Notre Parti C'est Fréjus".
Les membres du parti se sont notamment retrouvés pour élire un nouveau Conseil d'Administration pour cette dernière ligne droite avant les municipales de 2026. Le Conseil d'Administration est composé de 11 membres élus au suffrage direct par les adhérents à jour de leur cotisation 2025.
Les membres du nouveau bureau au sein de ce Conseil d'Administration sont les suivants :
- Présidente : Katia Michelan
- Vice-Présidente, Action Militante : Marie-Noëlle Auzely
- Vice-Président, Relations Politiques : Benoît Pittet
- Vice-Présidente, Communication : Chloé Charlet
- Secrétaire Général : Mickaël Camilleri
- Trésorière : Sabine Frattini
Cette nouvelle équipe est prête à relever les défis qui l'attendent et se sait soutenue par des adhérents engagés et pleins d'entrain pour donner un nouvel élan à Fréjus.
Si vous aussi, vous souhaitez participer à la mise en place d'un nouvel élan pour Fréjus, rejoignez-nous ! Venez pousser la porte de notre permanence le mercredi ou le samedi matin de 10h à 12h au 49, rue Montgolfier dans le centre de Fréjus.
Lors du rendez-vous traditionnel, Emmanuel Bonnemain a partagé les vœux de "Notre Parti C'est Fréjus" pour 2025.
C'était aussi l'occasion de réaffirmer notre engagement pour un Fréjus plus transparent, plus juste et tourné vers l’avenir.
Bilan 2024 : Actions concrètes et vigilance
Cette année, nous avons dénoncé les dérives de la majorité municipale :
- Une dette municipale qui a explosé (+21 M€ depuis 2014)
- La bétonisation excessive avec des projets mal pensés comme l’hôtel de luxe à la Base Nature ou l’école-usine de Caïs-Capitou
- Une gouvernance préoccupée par ses privilèges plutôt que par la sécurité et les besoins des Fréjusiens.
Mais l'année 2024, c'est aussi des avancées concrètes grâce à NOTRE mobilisation :
- Soutien au tri des biodéchets avec le SMIDDEV
- Défense des gares locales et des transports pour préserver les emplois de notre territoire
- Travail avec la Région pour garantir de meilleures infrastructures pour nos jeunes, notamment une restauration scolaire digne au lycée Camus.
Fréjus mérite une autre voie, fondée sur l’économie et le savoir, plutôt que sur une expansion démographique désordonnée en :
Créant un campus universitaire à la Base Nature pour un écosystème étudiant dynamique
Valorisant le patrimoine avec un musée archéologique départemental pour un tourisme toute l’année
Développant les zones économiques, notamment les 5 ha de l’ancien Zoo du Capitou pour accueillir des entreprises innovantes.
Notre ambition est claire : remporter les élections municipales pour redonner à Fréjus une gestion digne et efficace. Pour cela, nous avons besoin de vous dès aujourd’hui. Notre groupe, transpartisan et uni, travaille pour un projet réaliste et tourné vers les besoins de chacun.
Ensemble, bâtissons un avenir ambitieux pour notre ville.
Ensemble, faisons de Fréjus une ville où il fera bon vivre.
Lors du dernier conseil municipal, la majorité dirigée par David Rachline a relancé son idée controversée de construction d’un hôtel de luxe à la Base Nature. Ce projet, incohérent pour notre commune, n'a pas trouvé d’intérêt auprès des promoteurs : le premier appel à projets a échoué, avec une seule candidature reçue dans les délais. Le candidat demande une mise à disposition du terrain pour une durée dépassant les 70 ans, contrevenant au cahier des charges initial.
Face à cette impasse, David Rachline a choisi de modifier le cahier des charges pour permettre une mise à disposition au-delà des 70 ans. Une décision qui, si elle aboutit, priverait les Fréjusiens de la jouissance de leur patrimoine public pour plusieurs générations.
Depuis 2014, les choix de cette majorité montrent une constante : privilégier les intérêts des promoteurs immobiliers au détriment de l’intérêt général. Ce projet est une nouvelle illustration de cette orientation.
Nous estimons que cette idée, aussi lourde de conséquences, mérite une décision démocratique. Utilisons les élections municipales à venir comme un référendum sur ce sujet : vous êtes pour cet hôtel ? Reconduisez le sortant. Vous êtes contre ? Nous sommes l’alternative.
Notre position est claire : nous demandons le gel de ce projet jusqu’à ce que les Fréjusiens puissent s’exprimer librement dans les urnes. Devons-nous faire de la Base Nature un hôtel, un campus, ou revenir à un parc naturel ?
C’est à vous, citoyens de Fréjus, de décider de l’avenir de ce lieu emblématique.
Hier, lors du conseil municipal, la majorité actuelle a joué aux apprentis sorciers en tentant de faire croire que la situation financière de la ville était sous contrôle.
Si des décisions modificatives ont été prises en urgence lors de ce dernier conseil municipal de l’année, c’est tout simplement parce que le budget initialement voté n’était pas équilibré, et que les projections du maire se sont heurtées à la réalité. Cette réalité, c’est que la ville de Fréjus n’a jamais été autant endettée : 151 millions d'euros de dettes en 2023 contre 130 millions en 2015. De plus, les remboursements des emprunts contractés à taux variable pèsent lourdement sur le budget de la commune. En conséquence, les investissements prévus, pourtant annoncés en grande pompe, ne pourront pas se concrétiser car la ville n'a plus les moyens financiers pour les financer.
La vérité est donc bien là : notre commune est dans une situation critique. Il est grand temps de gérer Fréjus avec plus de rigueur, en mettant fin aux dépenses superflues, comme les subventions pour les événements des « copains », ou les travaux publics inutiles, voire contre-productifs. Mais surtout, il est impératif de trouver des solutions pour augmenter les recettes de la ville, en développant notamment un véritable plan de croissance économique via l’agglomération, afin d’attirer de nouvelles entreprises et dynamiser l’économie locale.
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Dans le cadre de son programme « Une Cop d'avance », la Région Sud sous la présidence de Renaud MUSELIER multiplie les initiatives pour améliorer les transports régionaux, les TER en particulier, avec notamment la Ligne Nouvelle PCA dont les bénéfices attendus de 2025 à 2035 ont été rappelés cette semaine dans un tract diffusé par la Région.
Membre de la commission mobilité Estérel Côte d'Azur Agglomération, Emmanuel BONNEMAIN, conseiller municipal (groupe d’opposition « Notre Parti C’est Fréjus ») a récemment sollicité le président de la Région sur une problématique essentielle pour de nombreux habitants de l'agglomération : le maintien du train de 08h06 à Fréjus.
Des rumeurs persistantes laissaient en effet entendre que ce TER serait supprimé par la SNCF dès décembre 2024, au risque de faire perdre leurs emplois à de nombreux habitant de l'Est Var pour lesquels ce train est vital pour rejoindre leur lieu de travail à l’heure.
Par courrier du 8 novembre 2024, Renaud MUSELIER a tenu à rassurer M. BONNEMAIN : « Depuis plusieurs mois les services de la région travaillent activement avec SNCF Voyageurs Sud Azur et SNCF Réseau à la modification du TER 881207 pour qu'il corresponde aux besoins des usagers tel que vous l'avez largement exprimé et relayé.
Je peux ainsi vous confirmer qu'en décembre 2024 et pour toute l'année 2025, ce TER sera maintenu avec un départ à 07h59 des Arcs en direction de Cannes mis à part les 25 décembre 2024 et 01 janvier 2025 où il partira à 07h42. »
Ce nouveau service 2025 sera également accompagné d’un renforcement sensible de l’offre avec un cadencement à l’heure toute la journée sur la section Les Arcs – Cannes.
Enfin, il est rappelé que la majorité régionale a voté le 25 octobre dernier le financement et le lancement de 2 études de faisabilité de l’arrêt des TER dans les gares de Roquebrune-sur-Argens et de Puget-sur-Argens. La Région envisagerait également dans le cadre du déploiement de la Ligne Nouvelle PCA la réouverture des gares de Roquebrune-sur-Argens et Puget-sur-Argens : une bonne nouvelle de nature à réjouir tous les habitants d'Estérel Côte d'Azur Agglomération, prêts à abandonner leurs voitures pour se déplacer autrement dans l'agglomération.
Les explications données par le président d’Estérel Côte d’Azur Agglomération, au sujet de son refus de signer le 23 septembre 2024 la convention présentée par le préfet du Var relative à la gestion des déchets sont tout, sauf crédibles.
Sur la forme tout d’abord : qui peut croire une seule seconde que cet accord aurait été présenté en catimini, au dernier moment, sans concertation préalable par le représentant de l’État ? La réalité, c’est que cette convention a été préparée de longue date en amont, négociée préalablement par les parties. Seul le document final après prise en compte des observations des autres collectivités a été présenté le 23 septembre. Estérel Côte d’Azur Agglomération et le SMIDDEV auraient-ils négligé la phase préliminaire ?
Sur le fond ensuite. Ce qui s’est passé révèle trois faits majeurs.
• Le premier, c’est que le président LR de l’agglomération et le président RN du
SMIDDEV se sont associés dans une union de droite chère à M. CIOTTI pour faire capoter un projet présenté par l’État. Ils ont instrumentalisé leurs mandats à des fins purement politiciennes.
• Le second, c’est que cet échec est avant tout pénalisant pour les citoyens de l’Est Var qui, faute d’accord, vont continuer à dépenser des millions d’euros en projets séparés au lieu de réfléchir en commun à des solutions garanties par l’État. À cause de ce refus, pas d’incinérateur dans le Var. Pas de poursuite de la méthanisation dans Estérel Côte d’Azur Agglomération.
• Le troisième, c’est que le Conseil Communautaire de l’agglomération n’est désormais plus qu’une chambre d’enregistrement où on expédie les 863 pages de projet de délibération en 36 minutes. Record battu.
Quelle ironie quand, dans le même temps, le président de notre collectivité territoriale organise en sa qualité de Maire « la cité des débats » censée glorifier la démocratie !
Après tout, Dr LR et M. RN ne dirigent-ils pas effectivement notre agglomération ?
Au moins les choses sont claires.
Le week-end du 14 septembre, nous avons franchi une étape importante vers 2026 avec plus de 150 personnes réunies pour soutenir notre vision d'une nouvelle ère pour Fréjus.
Un grand merci à Virginie PIN, vice-présidente de la Région SUD Provence Alpes Côte d’Azur et adjointe au Maire de Toulon, représentant Romain SIMMARANO vice-président du parti Régional CAP SUR L’AVENIR ainsi qu’à Fabrice ALBERT délégué départemental de l’UDI, représentant, Laurent Dahmani Président de l'UDI Var, pour leur venue et leur soutien public.
Depuis trop longtemps, notre ville souffre des choix d’une municipalité qui a tourné le dos à ses habitants. La bétonisation n’a jamais cessé, malgré les promesses. Aujourd'hui, des immeubles de cinq à six étages continuent à défigurer nos quartiers pavillonnaires, sans considération pour les infrastructures essentielles comme les routes, les crèches ou les centres de loisirs. Le patrimoine communal est bradé et la dette ne cesse de croître, atteignant désormais un niveau largement supérieur à celui de 2014 que cette même majorité municipale dénonçait alors. Cette gestion à courte vue compromet gravement l’avenir de notre ville.
Nous disons STOP à cette politique qui sacrifie Fréjus.
Fréjus mérite mieux. Vous méritez mieux.
Ce dont nous avons besoin, ce ne sont pas des hôtels de luxe ou des projets déconnectés de la réalité des habitants, mais des solutions concrètes pour assurer effectivement la sécurité de nos concitoyens, améliorer l’éducation, préserver notre environnement tout en développant notre économie et diminuant la dette et garantir le bien-être de tous.
Nous bâtirons ce projet avec vous, les Fréjusiens, pour répondre à vos attentes et vos besoins. Ensemble, nous créerons une ville plus respectueuse, plus juste et plus agréable à vivre.
Rejoignez-nous ! Construisons ensemble le Fréjus de demain.
Dimanche dernier, Emmanuel Bonnemain a eu le plaisir de participer au forum des associations à la Base Nature, une journée empreinte de convivialité mettant en lumière les nombreuses associations de notre ville. Il a souhaité exprimer sa sincère gratitude pour l'accueil chaleureux reçu et adresser ses plus vives félicitations à tous les bénévoles, employés et dirigeants des plus de 450 associations de Fréjus. Leur dévouement et leur engagement sont essentiels à la vitalité de notre communauté. Fréjus est fière de son tissu associatif ; ensemble, continuons à le soutenir et à le valoriser.
L’orage qui a inondé l’espace Caquot à la Base Nature de Fréjus, dimanche 08 septembre au matin, entraînant l’annulation du World of Geek, est une preuve flagrante de la gestion aberrante de notre patrimoine.
Les organisateurs et exposants ont vu leur travail et leurs investissements littéralement partir à l’eau, un manque à gagner énorme pour eux. Mais soyons clairs : ce désastre n’est pas qu’un simple coup de malchance météorologique.
Il était prévisible, presque inévitable.
Cette inondation n’est apparemment pas due à une défaillance de la toiture (il semble qu’elle ait été récemment reprise) mais plutôt à une absence d’entretien des évacuations d’eau pluviale. Celles-ci, bouchées, ont été saturées et se sont déversées en cataracte devant le bâtiment, dont les systèmes d’évacuation sont sous-dimensionnés et inadaptés. Résultat : une véritable piscine s’est formée à l’arrière de Caquot, inondant le bâtiment.
Le hasard n’a rien à voir là-dedans : plutôt le manque d’anticipation.
En 2020, lors des élections municipales, j'avais déjà alerté sur l’état déplorable de l’espace Caquot et proposé dans notre programme, de le transformer en un palais des congrès moderne, adapté aux besoins de Fréjus et de son territoire.
Mais qu’ont fait le Maire et sa majorité ? Ils ont choisi de camoufler le problème avec une fresque, la "plus grande d’Europe", inaugurée en grande pompe en mars dernier. Oui, c’est joli pour Instagram, mais cela ne dynamise pas Fréjus et n’attire pas des événements majeurs. Ce ravalement de façade est une farce. Au lieu de s’attaquer au véritable problème et de rénover l’espace Caquot en profondeur, ils se sont contentés d’une solution superficielle pour donner l’illusion d’avoir agi. Le résultat est là pour le prouver.
Encore une fois, la ville de Fréjus et ses habitants passent à côté d’une opportunité en or : réhabiliter ce lieu en un centre de congrès au bénéfice de tout le territoire. Avec un palais des congrès vieillissant à Saint-Raphaël, Fréjus aurait pu se positionner sur des salons professionnels et des manifestations de grande envergure. Mais non, il est plus simple d’éviter les véritables débats et conflits, préférant préserver les arrangements électoraux. La vérité, c’est que repeindre des façades peut être visuellement agréable, mais la vraie question est : et si on avait commencé par bâtir des murs solides avant de s’occuper de la peinture ?
La chose publique doit-elle être servie, ou est-elle destinée à d’autres fins ?
Qu’on en juge.
Depuis son entrée en fonction en 2020, le Maire de Fréjus :
• A fait voter à son profit le versement d’une indemnité de représentation de 800 €/mois pour tout le mandat, soit sur 6 ans un pactole de 57 600 € nets d’impôts.
• A fait supporter par la commune ses frais d’avocat et de représentation en justice dans le cadre des procédures qu’il a fait engager pour la seule défense de son honneur mis en cause par le livre « les Rapaces ».
• Est véhiculé quasi exclusivement en voiture de fonction avec chauffeur payé par la Ville.
• Et désormais, se souhaite un bon anniversaire pour fêter ses 10 ans à la tête de la commune en éditant une magnifique brochure de luxe, le tout soutenu par une campagne d’affichage 4 x 3 digne d’une rockstar.
Et combien a coûté cette dernière folie ?
Au minimum 59 000 €, sans compter les frais de distribution, prélevés sur le budget communal.
Dans une Ville surendettée de plus de 151 millions €, peut-on encore tolérer de telles pratiques ? À l’évidence la réponse est NON.
Il ne s’agit pas seulement de morale, ni même de décence : seulement de respect que nous devons à nous même.
Alors, stop ou encore ?
La Flamme Olympique, partie de Grèce, a atteint Marseille hier et poursuit son périple vers Saint-Raphaël ce vendredi 10 mai. Si cette avancée suscite notre enthousiasme, le choix de Saint-Raphaël pour cet événement soulève des questions sur la position de Fréjus à l'égard de cette célébration.
En effet, la flamme ne fera pas escale à Fréjus, pourtant une ville ayant une riche histoire sportive, ayant accueilli d'importants événements tels que la Coupe Davis en 1987 et 1993 dans nos Arènes, ainsi que le Roc D’azur, plus grand événement VTT au monde, attirant chaque année plus de 100 000 visiteurs.
De plus, Fréjus peut se vanter d'un tissu associatif sportif remarquable, notamment avec l'AMSLF, la plus grande association sportive de la région, comptant plus de 5000 adhérents.
Cependant, malgré ces réalisations, la flamme olympique ne passera pas par Fréjus. Comment une aussi grande ville (4ème du Var), peut-elle être ignorée lors de cet événement majeur ? Ne pouvions-nous pas, en partenariat avec la ville de Saint-Raphaël, unir nos forces pour partager ce moment extraordinaire et ainsi permettre à nos deux villes de bénéficier pleinement de son dynamisme ?
Le parcours de la flamme ce vendredi 10 mai dans le Var, démarrera à 8h10 du CREPS de Boulouris pour arriver à 9h30 à la Grande Roue de l'esplanade Delayen. Puis elle traversera les villes d'Hyères, Brignoles, Flassans sur Issole, Les Salles sur Verdon, La Garde et Toulon.
C'est dire si Fréjus ville « multisportive » passera au travers de cette opportunité qui lui était présentée de rayonner un tant soit peu.
Il est vrai que le département a déboursé la « modique » somme de 180.000€ et que notre bonne vieille romaine boudeuse et fainéante a préféré se complaire dans sa léthargie chronique, au grand bonheur de sa voisine jumelle qui n'en demandait pas moins.
La flamme olympique repassera peut-être ici dans 100 ans ?
Ci-dessous une lettre ouverte au maire de Fréjus d'un commerçant empêché de travailler.
"A l'attention de David Rachline.
Bonjour Monsieur.
Je tiens par le présent courrier porter à votre connaissance quelques faits difficiles à vivre à Fréjus.
Artisan créateur itinérant, j'expose sur les marchés depuis 5 ans dans toutes les villes où je passe. Je me déplace beaucoup et à l'entrée du printemps, j'ai décidé de louer un appartement à Fréjus pour quelques semaines pour principalement prendre soin de ma santé et exposer sur les marchés de Fréjus (j'avais déjà exposé à l'automne ici). Je suis donc déclaré à la chambre des métiers comme commerçant ambulant, avec des papiers tout à fait en règle pour travailler.
Je vais maintenant vous raconter chronologiquement ce qui me fait vous écrire aujourd'hui (j'aurais préféré vous exposer tout ça de vive voix. C'est ainsi)
Mardi 2 avril 2024
Je me présente au marché de st Aygulf pour voir si une place est disponible. Là, les personnes responsables de placer les exposants, les placiers, sympathiques placiers, ce qui n'est pas le cas de tous, m'expliquent que ce n'est pas possible car la municipalité met en place une nouvelle règlementation pour un meilleur fonctionnement. Il me faut donc me rendre à la mairie pour monter un dossier pour savoir si j'aurais le droit d'exposer ou pas. Le marché du jour présente beaucoup de places disponibles pour travailler, mais soit, une journée de perdue.
Je me rends alors à la mairie où je croise plusieurs "passagers" comme moi qui viennent remplir ce dossier et je rencontre M. Curty. Il m'explique les raisons de ce nouveau règlement que je comprends et avec lesquelles j'adhère, elles me semblent de bons sens. De mon côté, je lui explique que je suis de passage et que ce règlement finalement ne me concerne pas vraiment puisque je ne serai pas dans la région cet été. En revanche, je suis ici pour deux semaines et j'ai besoin de travailler. Je trouve très dommage de ne pouvoir travailler alors qu'il y a largement la place sur les marchés pour que je puisse exposer. Notre échange est cordial.
Donc M. Curty me donne un document du dossier, un document sur deux car le deuxième document n'est pas prêt. Il me dit qu'il comprend et qu'il m'enverra le document manquant par mail dans l'après midi.
Je commence à réunir les pièces nécessaires pour constituer le dossier, attends la réception du document manquant .. attends .. appelle fin d'après midi pour informer que je ne l'ai pas reçu, et le reçois en fin de journée, quand tout est fermé. Je me dis alors qu'une deuxième journée de travail, celle du mercredi est perdue .. Pour qui ? pour quoi ?
Je viens déposer le dossier le mercredi. Je rencontre de nouveau M. Curty avec qui ça se passe bien. Je n'avais pas vu qu'il fallait joindre des photos de mes créations et du stand, on s'arrange. Je lui explique qu'il me faut absolument travailler rapidement, que cette situation est difficile à supporter, d'autant plus, je le répète, que cette nouvelle règlementation concerne ce qui se passera dans plusieurs mois. Or, nous sommes au présent et j'ai besoin et envie de travailler. Il me dit alors en voyant mes créations que ce que je fais est beau, que c'est original, et qu'il ne va pas y avoir de problème pour que j'expose ici. Il me dit également qu'il déposera un lot de dossiers aux élus pour donner les autorisations, que je recevrai un mail le jeudi et que vendredi, je pourrai me présenter au marché et que je recevrai la carte d'exposant pour les marchés de Fréjus.
Je me dis "ok, trois jours de perdus. Ils auraient largement pu procéder autrement pour éviter à beaucoup de personnes de subir cette situation, qui nous est imposée, c'est à dire nous retirer temporairement le droit de travailler, en pensant un peu plus aux principaux intéressés, nous les exposants qui faisons vivre les marchés, mais bon, trois jours, ça passe encore".
Jeudi .. Rien ..
Vendredi .. Rien ..
J'appelle d'autres municipalités pour prendre des renseignements sur leurs marchés, même si ça fait loin, et que j'ai peu de moyens pour mettre dans le carburant, les parkings payants etc.
J'en profite pour leur parler de cette situation et .. les personnes ont été choquées, se demandant si c'est légal d'interdire à des gens de travailler alors que les places sont disponibles. N'étant qu'un créateur m'alignant tant que je peux à des lois qui me dépassent, je n'ai pas de réponse à cela. En avez-vous ?
Là, après la déception et la stupéfaction du premier jour, l'attente et l'espoir du deuxième, la désillusion et la perte de confiance en la parole donnée du troisième, le désespoir monte et me dirige vers le service dirigé par M. Curty. Ce Monsieur est absent. D'autres passagers, comme moi, sont là, dans le couloir, ou dans la rue à attendre une décision sur leur sort, certains exposant sur le marché depuis 20 ans .. Comment peut-on traiter les gens de cette façon ??
M. Curty arrive. Nous sommes plusieurs à lui demander des nouvelles. Moi, je lui dis en lui montrant 4 de mes doigts que cela fait quatre jours que je ne gagne pas d'argent, que ça commence à devenir insuportable, que je n'ai pas reçu le mail annoncé.
Et là, M. Curty, curieusement, semble être le plus excédé de tous.. Il me rétorque que pour moi, c'est décidé, "puisque c'est ça, c'est un refus pour vous". Les personnes présentes se regardent, dépitées. Je lui propose alors de faire preuve d'empathie et de compréhension, que c'est le désespoir qui me fait parler comme ça. Mon ton était ferme mais loin d'être irrespectueux ou agressif. Il m'a répondu en rentrant dans le bâtiment qu'"il y a des marchés ailleurs ! vous, c'est fini pour vous ici. Vous recevrez un mail de refus".
Mettez vous à notre place, messieurs les décideurs. Suspendre notre droit de travailler, me retirer le droit de travailler, comme ça, sur un coup de tête, parce que ce monsieur a été fâché que je lui parle en toute franchise, alors que mon sort, notre sort dépend de vos actes et de vos décisions, qui ne viennent pas.. Quelle cruauté.
N'étant, que de passage sur Terre, surtout à Fréjus, cette mésaventure se transformera en souvenir d'une tristesse d'humanité. C'est pourquoi j'ai adressé en copie ce courrier à Monsieur Emmanuel Bonnemain, pour que des forojuliennes et forojuliens soient aussi au courant de ces faits.
C'est aussi pourquoi je n'attends rien, je veux dire "plus rien" de votre part. J'ai assez perdu de temps, d'argent, et de bonne humeur dans mon séjour à Fréjus. De bonne humeur oui, parce qu'en m'interdisant d'exposer sur les marchés, non seulement je n'ai pas gagné d'argent pendant trois semaines, mais surtout, ça m'a coupé de mes semblables, si différents, les humains, dont j'aime la chaleur, les émotions, les idées, similaires ou différentes des miennes. Ce qui peut réduire les ventes mais bon .. ni la liberté, ni la vérité sont sur Terre pour calculer ces choses.
Pour finir, si vous pouviez imaginer combien les femmes s'émerveillent devant mon stand, combien elles sont enchantées de repartir sublimées par des créations uniques et belles, vous saisiriez un peu la tristesse de cette situation.
Je vous quitte enfin, sans vous remercier de m'avoir lu, sans vous adresser mes cordiales salutations, sans rien, le manque de respect a été trop grand. C'est scandaleux d'agir comme ça entre humains.
Fabien Guillotin"
Pour sa troisième édition, le loto de Notre Parti C’est Fréjus a une nouvelle fois, rencontré un franc succès. Dans une ambiance conviviale, les joueurs concentrés et chanceux ont apprécié la qualité et le nombre de lots récompensant quines et cartons pleins. À l’entracte, pâtisseries, tartes et cakes salés réalisés par les adhérents étaient proposés, ainsi que des crêpes réalisées sur place. Nous tenons à remercier tous les commerçants (Sainte-Maxime, Saint-Raphaël, Roquebrune-sur-Argens, Puget-sur-Argens et bien sûr Fréjus) pour leur générosité et leur fidélité ainsi que tous les participants. Nous vous donnons rendez-vous en 2025 pour une quatrième édition encore plus incroyable !
LA PROCHAINE RÉUNION DU CONSEIL MUNICIPAL AURA LIEU LE JEUDI 22 FÉVRIER 2024 À PARTIR DE 18H00.
Vous trouverez ci-dessous, disponible au téléchargement, l'Ordre du Jour du conseil municipal du 22 février 2024.
https://www.ville-frejus.fr/.../Ordre-du-jour-CM-22-02...
Cette séance sera également retransmise en direct sur le site internet de la ville : https://www.ville-frejus.fr
Notre Parti C'est Fréjus se mobilise pour Mars Bleu, un mois de sensibilisation contre le cancer colorectal.
Plus d'informations prochainement.
Le dimanche 21 janvier avait lieu à la salle du Sextant, l'Assemblée Générale de notre association « Notre Parti C'est Fréjus ». Venus en nombre, les adhérents ont pu découvrir avec satisfaction les rapports, moral et financier qui leur ont été exposés et qu'ils ont votés positivement.
Tout en consolidant des liens d'amitié, les membres continuent à s'activer et être de plus en plus nombreux. Ce qui a permis à l'association d'élargir ses horizons d'attente et de développer ses champs d'activité notamment en termes d'environnement.
Soucieux d'apporter de bien meilleures solutions pour leur ville, ils sont sur le terrain pour permettre aux conseillers municipaux de l'opposition : Emmanuel Bonnemain, Katia Michelan et Robert Icard de porter leurs remarques et autres préoccupations.
Cette année 2024, pleine de promesses, offre toutes les opportunités pour permettre à l'association d'appliquer la devise des Jeux Olympiques: « plus vite, plus haut, plus fort, ensemble ! ».
Motivés comme jamais, les membres de l'association se sont retrouvés pour partager le verre de l'amitié en dégustant les délicieuses galettes, achetées chez les pâtissiers des différents quartiers de Fréjus.
Gros élan de générosité ce matin, samedi 9 décembre, dans les rues du centre de Fréjus ! Vous avez acheté les paquets de biscuits proposés par les adhérents de « Notre Parti C'est Fréjus », vendus au profit du Téléthon. La somme collectée est de 315€. Merci de répondre toujours présents à cette grande cause et grâce à vous, à nous, le combat continue et on avance. Nous avons été surpris et regrettons que rien d'autre n'ait été organisé au cœur de la ville. Nous préparerons davantage de paquets pour l'année prochaine !
https://don.telethon.fr téléthon 36 37
La Base Nature doit absolument rester un espace PUBLIC. Céder (ou louer pour 50 ans, ce qui revient au même) une portion, aussi petite soit-elle [sans augmenter la surface bâtie], c’est résolument et indéniablement créer un précédent et ouvrir la porte à d’autres déclassements du domaine public.
Mobilisez-vous pour la Base Nature, pour l’avenir de nos enfants avec le projet de campus universitaire. Garder notre jeunesse et lui proposer, à l’issue des études des débouchés sur notre territoire, c’est comme cela que nous conserverons le lien intergénérationnel, que nous "boosterons" l’économie locale, que nous contribuerons à garder sur place les forces vives, pour faire vivre Fréjus tout au long de l’année.
Rassemblement autour de l'environnement au château Paquette