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Aujourd'hui, nous commémorons le 65e anniversaire de la catastrophe de Malpasset. Un souvenir toujours aussi douloureux pour notre Ville, meurtrie par le décès de plus de 423 Fréjusiens, dont 150 enfants, sans parler de tous les morts non identifiés dont les restes reposent dans l'ossuaire du Cimetière Saint-Étienne.
Nous nous souvenons, mais notre devoir est d'agir concrètement pour ne plus revivre pareille catastrophe.
Certes, les inondations subies par les agriculteurs de la Plaine de l'Argens ou les 52 maisons des Floralies depuis 18 ans sont sans commune mesure avec Malpasset.
Mais leurs causes (une urbanisation toujours plus dense, des sols toujours plus imperméables et des rejets de pluviales dans des cours d'eau déjà saturés) confirment que nous pourrions les éviter.
Pour la mairie actuelle, aucun doute : c'est la faute des autres. Leurs prédécesseurs, l'État... Mais jamais la leur.
La vérité c'est que depuis 10 ans, ils ont éludé le problème. Ils ont laissé construire n'importe où, n'importe comment sans adapter les ouvrages publics (les routes, les réseaux pluviaux) aux nouveaux besoins collectifs.
Nos agriculteurs, nos concitoyens inondés le paient maintenant au prix fort.
Et demain? Vous aurez le choix entre garder les mêmes qui ont échoué ou changer d'équipe.
Choisir entre ceux qui ont oublié ou ceux qui se souviennent.
En inaugurant la statue de Johnny Hallyday le 21 septembre 2024, le Maire de Fréjus n’a pas seulement rendu hommage à un artiste hors norme.
Il a achevé de ridiculiser notre Ville aux yeux de la France entière.
- D’abord en faisant payer aux Fréjusiens le prix de ses lubies – la statue aura coûté plus de 60.000 € aux contribuables, sans compter les frais de la manifestation elle-même.
- Ensuite en imposant à tous nos visiteurs une œuvre au design sinon discutable, au moins discuté.
- Mais surtout en apposant son propre nom « en 10 fois plus gros que n’importe qui » sur la plaque commémorative, faisant du coup oublier jusqu’au nom de l’artiste célébré !
Et ce n’est pas tout.
Ce prétendu défenseur de nos traditions Provençales, ce soit disant patriote qui se fait porter pâle le 14 juillet, est allé jusqu’à débaptiser la place des Galoubets (que les Fréjusiens avaient pourtant choisie) pour la renommer du nom de son chanteur préféré. Aucun membre de son équipe municipale ne s’y est opposé : tous se taisent et exécutent.
Cette comédie va heureusement bientôt s’achever.
Dans un an et demi, vous allez pouvoir choisir entre garder ce qui ne marche pas ou essayer autre chose.
Choisir de garder les mêmes ou changer d’équipe.
Prions pour que notre avenir commun s’éclaire enfin et que Fréjus retrouve
sa fierté !
Fréjus, le 9 septembre 2024 - 22h20.
-Police Municipale, bonsoir.
-Bonsoir, Mr BONNEMAIN à l'appareil. Pouvez-vous envoyer une patrouille rue De Gaulle SVP ? Il y a un groupe qui s'étripe en bas.
-Ah non, je ne peux pas : je n'ai personne.
-Mais, quand même...
-Bonsoir Monsieur.
Et on raccroche.
Cette conversation aurait pu concerner tous les quartiers de la ville.
Fréjus soi-disant 16ème ville la plus sûre de France, laisse l'insécurité s'installer.
Entre 2022 et 2023, les cambriolages ont augmenté de 12,2%.
Les trafics de stupéfiants de 16,07 %.
Les coups et blessures volontaires infrafamiliaux sont en hausse de 13,06 %.
« La ville de Fréjus a un niveau de délinquance plus élevé que la moyenne des autres villes du département du Var »
Ici, l'échec de cette majorité municipale est donc démontré : sa méthode ne marche pas.
Alors que faire ?
Voici ce que je propose :
- Cesser d'utiliser la vidéo-verbalisation pour les seules infractions routières.
- Installer une vraie police d'ilotage pour empêcher les trafics de s'installer et renseigner la Nationale.
- Définir une vraie politique pénale avec le Procureur.
A vous Fréjusiens de choisir entre garder ce qui ne marche pas ou essayer autre chose.
A vous de choisir entre garder les mêmes ou changer d'équipe.
Après juillet 2023, le maire de Fréjus était encore absent aux célébrations du 14 juillet 2024.
Non parce qu’il était malade comme d’autres l’étaient.
Non parce qu’il était en déplacement.
En réalité parce qu’il n’avait pas envie.
Ce monsieur, qui pourtant se targue d’être patriote, qui est payé plus de 100.000€ par an, dont la tâche essentielle est de représenter les Fréjusiens lors la Fête Nationale, s’est fait porter pâle et remplacer au pied levé par un conseiller municipal.
Et ce n’est pas tout !
Le 16 juillet, alors que le préfet du Var se déplaçait en personne pour signer le nouveau contrat de ville, convention essentielle pour la vie de nos concitoyens de la Gabelle et l’Agachon, le maire était encore absent, officiellement parce qu’il était souffrant.
En réalité le soir même, il paradait dans la loge VIP des Arènes pour le concert de Jul : Souffrant le matin, il était en pleine forme le soir.
Cela vous choque ?
À vrai dire, le locataire de la mairie s’en fiche. Il se dit que vous allez oublier, que l’élection est dans un an et demi et que d’ici-là vous avalerez bien d’autres couleuvres.
Comptez sur nous pour vous rappeler qu’entre son amusement et votre qualité de vie, le maire a choisi son camp et qu’en 2026 vous pourrez répondre à la seule question qui vaille : on garde le même fantôme ou on change d’équipe ?
P.-S. : L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération
La chose publique doit-elle être servie, ou est-elle destinée à d’autres fins ?
Qu’on en juge.
Depuis son entrée en fonction en 2020, le Maire de Fréjus :
• A fait voter à son profit le versement d’une indemnité de représentation de 800 €/mois pour tout le mandat, soit sur 6 ans un pactole de 57 600 € nets d’impôts.
• A fait supporter par la commune ses frais d’avocat et de représentation en justice dans le cadre des procédures qu’il a fait engager pour la seule défense de son honneur mis en cause par le livre « les Rapaces ».
• Est véhiculé quasi exclusivement en voiture de fonction avec chauffeur payé par la Ville.
• Et désormais, se souhaite un bon anniversaire pour fêter ses 10 ans à la tête de la commune en éditant une magnifique brochure de luxe, le tout soutenu par une campagne d’affichage 4 x 3 digne d’une rockstar.
Et combien a coûté cette dernière folie ?
Au minimum 59 000 €, sans compter les frais de distribution, prélevés sur le budget communal.
Dans une Ville surendettée de plus de 151 millions €, peut-on encore tolérer de telles pratiques ? À l’évidence la réponse est NON.
Il ne s’agit pas seulement de morale, ni même de décence : seulement de respect que nous devons à nous même.
Alors, stop ou encore ?
Au CM du 28 mars 2024, le Maire a relancé son idée d’hôtel de luxe.
Il s’agit selon lui de donner à Fréjus un nouveau souffle économique – encore dans le tourisme - en laissant une entreprise privée occuper pour 70 ans notre bien commun : la Base Nature.
A l’inverse, nous pensons que sur ce terrain, notre Ville n’a pas besoin d’un hôtel supplémentaire mais d’un campus universitaire dont la nécessité est démontrée par un rapport de l’Agglomération établi en 2021.
Un lieu d’étude pour 1000 étudiants ; un centre de recherche, un centre d’hébergement pour environ 450 pensionnaires qui, l’été, pourra servir aux saisonniers de nos hôteliers et restaurateurs. Un nouvel écosystème en liaison avec les nouvelles entreprises du Capitou.
Il s’agit bien de 2 projets concurrents : il est impossible sur cette zone de loger en même temps l’hôtel et le campus ; c’est soit l’un, soit l’autre.
Pour savoir lequel des 2 choisir, à défaut de référendum (celui de St-Aygulf a servi de leçon), j’ai proposé de suspendre le projet d’hôtel pour que VOUS choisissiez lors des municipales de mars 2026.
Refus : 7500 voix suffisent au Maire pour décider seul au nom des 56 000 Fréjusiens.
Il est temps de sonner le tocsin : Réagissez en signant la pétition en ligne sur Change.org « préserver la base nature de Fréjus » ; Ne laissez pas vendre aujourd’hui l’avenir de notre Ville !
Certains citoyens de notre Ville bénéficient-ils d’un traitement privilégié ? Jugez-en plutôt.
Fin 2021, la majorité décide du ravalement obligatoire de toutes les façades (outre les volets et les blocs clim) des rues Jean Jaurès et de Gaulle. La Commune subventionnera une partie des travaux (environ 30% du coût total) et à cet effet, y consacre une partie de l’emprunt de 8 M € qu’elle souscrit en 2021. Condition essentielle : que les travaux soient engagés au plus tard en novembre 2023. A défaut, la Ville fera elle-même les travaux à ses frais avancés, frais recouvrés sur les retardataires par le Trésor Public.
Le délai est expiré depuis 5 mois et tous (propriétaires et copropriétaires) ont respecté la règle qui leur était imposée, en se mobilisant pour trouver les financements manquants.
Sauf quelques récalcitrants, pourtant propriétaires chacun de plusieurs immeubles, loués à prix d’or à plusieurs commerces et à certains locataires - parfois des travailleurs étrangers – dans des conditions indécentes.
La Commune a-t-elle engagé les travaux à leur place ? Non.
A-t-elle mobilisé ses agents pour constater l’indécence des logements loués par ces marchands de sommeil ? Non.
Cette bienveillance doit cesser.
Mais surtout, pour une majorité qui prétend à la « tolérance zéro », quelle ironie !
Il y a 10 ans, les Fréjusiens fatigués d’une équipe sortante salie par le comportement du Maire d’alors, élisaient un jeune homme de 26 ans qui promettait la fin des « copains », l’arrêt de la bétonisation de la Ville, son désendettement, la sécurité à tous les habitants.
Une réélection acquise au hasard d’une pandémie mondiale et 10 ans plus tard, que reste-t-il de ces belles promesses ?
- Le béton n’a jamais coulé autant à flot que sous cette administration communale, et ce n’est qu’un début avant la promenade des bains et l’hôtel à la base. Celle-ci a d’abord vendu à tour de bras les terrains communaux, puis augmenté leur constructibilité au moyen d’un PLU complaisant.
- L’endettement, qui aurait dû baisser au moyen de cette manne et des rentrées fiscales correspondantes, est passé de 154 à 161 Millions d’euros sous le coup d’emprunts nouveaux et d’opérations hasardeuses comme le pôle enfance.
- Les infractions et délits ont augmenté à Fréjus de 12 % de 2021 à 2022, confirmant la faillite de la politique sécuritaire de ces élus.
- Des scandales politico financiers salissent notre Ville : une enquête est en cours confiée par le Procureur au SRPJ.
Fréjus est devenu un bateau ivre piloté par un équipage sans carte ni boussole. Espérons donc que cet anniversaire soit l’un des derniers sous peine d’en prendre pour 18 ans fermes.
Var Matin a salué le 8 janvier 2024 le dynamisme de Fréjus au vu des derniers chiffres de la population publiée par l'INSEE - + 1,44 % pour notre agglomération portée à elle seule par Fréjus – + 8,3 % sur 5 ans.
Et la majorité de se gargariser de ce résultat qui, selon elle, serait la conséquence de sa politique « qui œuvre en faveur d'un cadre de vie agréable et serein ».
Qui prend son véhicule chaque jour aux heures de pointe sait combien les embouteillages qu'il subit sont « agréables »…
Qui tente d'inscrire son enfant au centre aéré ou aux activités périscolaires sait combien nos services publics municipaux sont à la peine.
Qui s'intéresse à la vie publique sait que les faits délictueux ont augmenté de 12 % à Fréjus entre 2021 et 2022 et que la vie ici n'est pas aussi
« sereine » qu'elle pourrait l'être.
Fréjus est un bijou mais son attractivité est essentiellement due à ses réserves foncières qui permettent à ce Maire d'empiler les habitants les uns sur les autres dans toujours plus de béton coulé pour la satisfaction d'un petit nombre. Aussi parce que le prix au m2 à Fréjus est nettement inférieur à celui de sa voisine immédiate comme à la moyenne du Var traduisant ainsi la paupérisation de la ville. Et dans le même temps, notre déficit en logements sociaux nous oblige encore au paiement d'une pénalité annuelle de 800 000 €, nos jeunes ne peuvent toujours pas se loger, le Maire préfère construire un hôtel de luxe plutôt qu'un campus universitaire.
L'augmentation de la population est en vrai le faux-nez de cette politique municipale qui depuis 10 ans mène notre ville à l'échec. Aux Fréjusiens de siffler la fin de partie en 2026 !
On dit souvent de la fin de l’année qu’elle marque une pause, une « trêve », un moment suspendu où ne devrait régner que la magie des fêtes.
Mais comment, en cette fin d’année 2023, passer sous silence le naufrage de cette majorité municipale ?
Soupçons de corruption, de favoritisme, de fraude fiscale, ouverture d’une enquête par le Procureur de la République sur la gestion de la ville, poursuites pénales contre une adjointe pour vol …
Et que dire des 4 millions supplémentaires empruntés en novembre, portant la dette totale à 161 millions ?
Et que dire de la bétonisation galopante, des projets de parking souterrain en zone submersion marine à 12 millions et hôtel de luxe privatisant une partie de notre base Nature ?
N’en jetez plus : la coupe est pleine.
Sous couvert de réélection qu’ils prennent pour un blanc-seing, le Maire et ses amis croient pouvoir disposer de leurs mandats en toute impunité, ignorant leurs devoirs.
Vous leur rappellerez en mars 2026 qu’un élu n’est pas là pour se représenter lui-même, mais représenter sa ville, mission impossible lorsque l’élu a un comportement indigne.
En attendant ce moment, je souhaite à chacune et chacun d’entre vous une année 2024 de paix, de sérénité et de réussite dans tous vos projets.
« que se siam pas mai, que siguen pas mens » !*
*Que si nous ne sommes pas plus, que nous ne soyons pas moins !
Les faits dénoncés par Camille VIGOGNE, grand reporter au « Nouvel Obs » dans son ouvrage « Les rapaces » paru le 02 novembre dernier sont d’une extrême gravité.
Ils pourraient constituer des infractions pénales, qu’il s’agisse de fraudes à l’obtention de marchés publics, de délits de favoritisme, de corruption active et passive, de prise illégale d’intérêts… Au-delà de la faillite morale et des errements personnels qui y sont décrits.
Une fois de plus, notre Ville est au centre de ce qu’il faut bien appeler un scandale National et la honte en rejailli sur nous tous.
« De simples rumeurs, des ragots », dit-on en Mairie pour tenter de minimiser la déflagration causée par la parution de cette enquête sans concession.
Des rumeurs, vraiment ?
L’alternative est en réalité très simple :
Soit ces faits sont avérés et il appartient aux élus mis en cause d’en tirer les conséquences en abandonnant leurs mandats, volontairement, judiciairement, ou par la force des urnes.
Soit ces faits n’existent pas et il leur appartient d’agir en diffamation contre l’auteur de cet ouvrage.
En attendant, la promesse d’une gestion exemplaire faite aux Fréjussiens en 2020 est clairement tombée aux oubliettes.
Est-ce pour cela que l’ex Maire, défait en 2014, était assis au premier rang lors du lancement de l’association des amis de Mr RACHLINE ?
Vivement 2026.
Qui reviendrait à Fréjus après 10 ans d’absence ne reconnaîtrait pas notre ville.
Gallieni, Caïs, Fréjus Plage ont été défigurés par des immeubles collectifs, entassés les uns sur les autres, outre les problèmes de circulation qui vont avec.
La faute à l’Etat ? Non : les conséquences d’un changement de PLU en 2019 et 2021, assumé par cette équipe municipale avec un seul mot d’ordre : densifier.
Entasser les gens les uns sur les autres. Pas comme prétendu pour créer des logements sociaux : juste pour augmenter les taxes foncières et, sans réduire la dette (elle a augmenté de 3 M €), vous faire croire à une saine gestion.
C’est un tour de magie. Une mystification. Une tromperie.
La même qui permet au locataire de la mairie de relancer son projet d’hôtel de luxe sur la Base Nature : l’enquête publique de 15 jours (!) sans débat préalable depuis mars 2020, s’est terminée le 11 octobre dernier, sans réelle information des Fréjusiens.
Le projet ? Un hôtel au bord de plage et un pôle festif privés, en lieu et place du centre de formation universitaire public dont les jeunes de notre territoire ont un besoin impératif. Le maire avait officiellement renoncé à cette mauvaise idée en 2021 ; il la reprend en catimini en 2023.
Vivement 2026 : les Fréjusiens unis pour la préservation de la Base Nature, lui signifieront un arrêt de jeu
De nombreux Fréjusiens et habitants de l’agglomération ont alerté Emmanuel Bonnemain sur la suppression du TER LES ARCS - CANNES de 7h57, à partir du 10 décembre 2023.
Cette modification, source d’une vraie inquiétude pour nos concitoyens, allait à l’encontre des actions de la Région en faveur des mobilités collectives.
Il a donc immédiatement écrit au Président Renaud MUSELIER, pour qu’une solution soit trouvée au plus vite. D'ailleurs, il le remercie chaleureusement pour sa disponibilité et sa réactivité : ce dernier vient d’obtenir de la SNCF le rétablissement de cet horaire, à compter du 8 janvier 2024 pour une durée de 3 mois, le temps de mettre en place une solution pérenne.
Voilà à quoi sert un élu : agir au quotidien pour l’amélioration de la qualité de vie de nos concitoyens.
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La revitalisation du centre ville
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La sécurité des citoyens
Un vrai plan éducatif municipal
Un projet sportif municipal
Le numérique au service de la ville et ses citoyens
Fréjus et la communauté d’agglomération (Estérel Côte d'Azur Agglomération)